Après constatations du succès de l’investissement dans l’immobilier d’entreprise en France, nous vous suggérons de jeter un rapide coup d’œil sur l’étude des marchés immobiliers à l’étranger. Voici des études pour les 04pays faisant principalement objets d’intérêts des SCPI hors de la France : l’Allemagne, le Royaume Unis, l’Italie et l’Espagne ; si vous voulez investir scpi.
Allemagne : L’immobilier d’entreprise reste attractif et bon marché
En Allemagne, la macroéconomie est solide grâce à des secteurs clés ; l’immobilier en demeure attractif et moins cher (NB : flux de capitaux du marché d’investissement : + 30% comparé à 2012). L’activité locative est quant à lui soutenue dans les grandes villes et signe de vitalité dans les villes secondaires.
Les loyers tanguent entre stabilité et légère croissance. La cyclicité des marchés étant réduite en Allemagne, une stratégie « core » de détention à long terme est plus adaptée. D’autant plus que la structure du territoire donne des avantages aussi bien pour les grands marchés qu’à des opportunités dans les villes secondaires. Enfin,si le modèle macroéconomique allemand est rééquilibré vers la consommation, le secteur du commerce encore peu développé, peut s’avérer attractif.
Royaume Uni : une stratégie courte visant à capter le potentiel de hausse de loyers.
Au Royaume Uni, comme à Londres en particulier, l’environnement économique s’est amélioré de manière significative ayant permis de reprendre les transactions de bureaux, des loyers et de la construction. L’investissement a connu une forte dynamique (42md£ engagé). Le niveau de rendement y est très bas (3-4%) poussé par les anticipations des valeurs, la grande liquidité du marché et l’afflux massif de capitaux internationaux…Cependant, son instabilité élevé implique une stratégie courte qui vise à intercepter l’éventuel hausse des loyers. A savoir que pour avoir les meilleurs emplacements, il faut commencer par accepter des rendements très faibles.
Espagne : les actifs primes en centre-ville offrent des rendements attractifs et des loyers en bas de cycle.
Après les crises entre 2007 et 2012 de ses marchés en immobilier, l’Espagne se voit pouvoir reprendre à partir de 2013, grâce à des indicateurs de redressement économique et d’un rebondissement de la demande placée. En plus, la mise en place d’une structure de défaisance chargée de céder les actifs des banques et l’arrivée massive d’investisseurs opportunistes non-domestiques a dégelé le marché. Mais encore, l’Espagne est le seul marché en Europe où les actifs prime en centre-ville offrent des rendements attractifs et des loyers en bas de cycle. Toutefois, il faut être prudent et s’appuyer sur une expertise locale car l’étude ce marché est encore conceptuel.
Italie : après plusieurs années de frilosité, les investisseurs se sont significativement repositionnés sur le marché italien.
Ainsi, en 2013, 4,8md€ ont été investis essentiellement par des investisseurs internationaux. Dont, plus de la moitié focalisée sur le commerce. L’Italie, après une situation économique ayant entraîné une sous-performance assez contenue des marchés, est présentement de retour dans la jumelle des grands investisseurs internationaux et notamment des fonds opportunistes nord-américain. En 2015-2016, la reprise des marchés locatifs permettra le retour d’investisseurs plus traditionnels.